En SEO, parfois le mieux est l’ennemi du bien
Cet article pourrait bien vous surprendre 🙂
Chez Aseox, nous travaillons plutôt pour des grands comptes mais avons aussi un portefeuille de petits sites et même le tout petit site d'un indépendant.
Cet indépendant souhaite rester indépendant. Son activité a explosé suite à notre intervention sur le site qui ne générait aucune prise de contact.
Ce site est en 1ère page sur l'intégralité des mots clés ciblés.
Mais il n'est pas premier ni même top 3 sur l'ensemble des mots clés.
Comment faire pour être premier ?
Pour être premier partout, il faudrait faire davantage de netlinking. Nous avons juste fait le minimum syndical. Comme vous le savez certainement, la popularité en termes de liens est souvent le facteur qui vous pousse en haut du podium.
Mais vous savez quoi ?
On s'en fiche, notre client s'en fiche, tout le monde s'en fiche et cela fera bientôt 10 ans que l'on travaille ensemble.
Il est tout seul, travaille 7 jours sur 7 et il ne peut travailler plus.
Avec son accord, nous avons décidé de ne pas pousser plus. Toutes les mises à jour Google passent les unes après les autres, les positions du site ne bougent pas significativement.
On voit juste des sites apparaître, monter très haut pendant 6 mois à 1 an nous doubler sur certains mots clés puis disparaître.
Souvent en SEO, comme dans la vie, Le mieux est l’ennemi du bien ("Voltaire, La Bégueule, 1772").
En revanche, nous sommes en train de lui positionner un deuxième site totalement indépendant du 1er. Mouhaha.